Alors on vit chaque jour comme le dernier…Au delà de l’histoire de Corneille, de son drame personnel (A 17 ans, il vit le génocide rwandais en voyant l’assassinat de ses parents, il a vécu l’exil, il a migré, est devenu réfugié… Je ne souhaite pas ici faire de politique mais cette chanson devrait nous faire réfléchir sur ces exilés que nos aïeux ont sans doute tous été un jour aussi…) , les mots de cette chanson résonnent en moi…
Elle nous dit que chaque jour est un combat mais aussi une fête… « On voit combien tout est éphémère,
Alors vivons pendant qu’on peut encore le faire »…. CARPE DIEM
Pendant mon hospitalisation avait lieu un salon du livre à Pau où est venu Corneille, j’aurai dû assister à sa conférence, je l’ai regardé en replay… Merci à la ville de Pau de laisser en ligne ces moments inspirants… J’en reparlerai dans un prochain article.
